12 févr. 2014

AUTOROUTE 73 : LE DROIT À L'ASPHALTE

Aussitôt leur code d'éthique et de déontologie adopté, précisant que " tout membre traite chaque personne avec justice ", voilà que les élus de la Ville de Saint-Georges y dérogent sciemment en intervenant dans l'exercice de mes droits légitimes.

Les élus de la Ville de Saint-Georges ont en effet adopté une résolution demandant au gouvernement du Québec de prendre toutes les mesures nécessaires afin de compléter le tronçon de l'autoroute 73 tel que l'échéancier le prévoit, soit 2015, invoquant le DROIT à l'asphalte.

La résolution demande également aux trois MRC de la région de la Beauce ainsi qu'à la Conférence régionale des élus de Chaudière-Appalaches d'adopter des résolutions similaires et de les transmettre au gouvernement du Québec.

Mais désolé les petits gars, les procédures sont déjà en marche...

N'utiliser plus la voie politique pour vous faire entendre.. chercher plutôt un bon avocat qui voudra bien accepter votre petite cause.

P.S. Les miens sont déjà très occupés avec la mienne

Josée Bilodeau

2 févr. 2014

L'AUDIENCE DE LA COUR SUPÉRIEURE FIXÉE EN MAI 2014

Le dossier de l'autoroute 73 était à la Cour ce vendredi 31 janvier pour la présentation de la requête en contestation du droit à l'expropriation du Procureur général du Québec et en nullité de la Loi concernant la construction d'un tronçon de l'autoroute 73, de Beauceville à Saint-Georges déposée par Madame Josée Bilodeau et Monsieur Pascal Veilleux en décembre dernier.

Cette procédure visait à établir une entente sur le déroulement de l'instance et le calendrier des échéances à respecter.

À la demande des parties pour que soit instruite et jugée d'urgence la cause, l'honorable juge Marc Paradis de la Cour supérieure a fixée deux jours d'audience, les 5 et 6 mai 2014, pour entendre la contestation au fond. Chaque partie aura un jour d'audience.

Le Procureur général du Québec a déposé sa défense écrite et Monsieur le juge Paradis a accordé à Mme Bilodeau un délai de deux mois pour produire sa réponse, soit jusqu'au 31 mars 2014.

La Cour a précisé les questions en litige au dossier et le nombre de témoins qui seront entendus, trois pour le Procureur général, Mme Bilodeau témoignera des faits pour son propre dossier.

Aucun moyens de non-recevabilité ou de rejet de la requête de Mme Bilodeau et M. Veilleux n'a été opposé par le Procureur général ni de demande à la Cour pour poursuivre les procédures d'expropriation.